Prénom et Nom :
Jeffrey Lauzon
Lieu de Survie :
Un peu partout à travers le Canada... Actuellement au Québec.
Type de vie :
« Je travaille seul... »
Jeff se refuse à entretenir une quelleconque relation avec qui que ce soit en cette ère infernale. Il a vécu la perte des êtres qui lui étaient les plus chers et pour rien au monde il ne voudrait revivre ça. Un proche qui meurt, c'est passable... Mais le voir se relever et se retrouver forcé de l'éliminer... C'est trop éprouvant. C'est pourquoi Jeff fuit tout le monde: zombies comme humains. Il se moque des problèmes des autres. Sa survie, c'est ce qui lui importe. Son mode de vie est assez simple: c'est celui d'un ermite. Il ère un peu partout dans son pays d'origine. Il aidera certes les gens dans le besoin, mais ne voudra jamais entendre leurs noms. Son lieu de résidence: il n'en a pas, mais il n'a pas de mal à s'en procurer un temporairement. Il partouille aux alentours du Canada, son pays d'origine, à la recherche de... À le recherche de quoi? Il n'en sait trop rien. Il ne veut que survivre et combattre. C'est la dernière chose que lui et tout humain restant peut se permettre de faire. À part crever. Pour l'hygiène, ça n'a plus d'importance... L'alimentation? La bouffe traîne un peu partout. Il n'a aucune difficulté à s'en procurer. Les armes? Il connaît de bons endroits pour les trouver, mais il n'en fera part à personne. Car oui, Jeff se sert d'une arme constament. Un bon fusil à pompes militaire. C'est très efficace!
Connaissances particulières :
« Informatique, médecine, conduite automobile, utilisation d'armes à feu et à blanc, styles de combat, tactiques militaires, survie. »
Oui, grâce à un passé fort enrichissant au sein des forces canadiennes, Jeff a su se démarquer dans plusieurs matières qu'on lui a enseignées. Il sait comment stopper une hémoragie importante, infiltrer de puissants systèmes informatiques, combattre adroitement à l'aide de n'importe quel objet lui tombant sous la main, s'habituer à divers modèles de véhicules, démarrer ceux-ci manuellement, et il possède même certaines ressources électroniques. Il a apris à se servir d'armes à feux passant du pistolet au lance-roquette et le plus important: Il possède une autonomie hors du commun lui permettant d'exploiter toutes ces connaissances.
Apparence Physique :
« J'ai tout ce qu'il faut pour plaire, mais ce n'est pas mon but. »
Jeff est assez grand, soit 1 mètre 87. Il a les cheveux noirs et les yeux marrons. Sa pilosité, il s'en moque. La barbe pousse légèrement et les cheveux sont emmeilés. Mais il n'a pas le temps de se raser. Il possède une musculature d'acier (au sens figuré) et en est donc assez imposant. Son corps est assez poilu, notamment les jambes. Gloalement, son corps a tout pour lui donner de la masculinité et même de la virilité. Dans son visage, il a souvent un air sérieux, impassible, cachant même un brin de désespoir, mais également parfois un petit sourire espiègle se dessine au coin de ses lèvres. Ce sourire, il s'ensert surtout pour rassurer les gens sur ses intentions et il est très rare que ce ne soit pas efficace. Il possède un grain de beauté notable sur la joue gauche. En général, il se vêti d'un blouson en cuir seffisemment chaud, d'une paire de gants au doigts manquants, d'un jeans (en état, si possible) et d'une paire d'espadrilles ou de bottes, tout dépendantde la situation. En effet, son style vestimentaire est très vaste et peut changer en fonction de la température, ou de ceraines autres circonstances. Il transporte ses vêtements principaux (qu'il ne vole pas) dans un sac à dos militaire qu'il trimbale sur son dos à l'année longue.Dans ce sac, il y a un parkas, un fusil à pompes de ce type:
http://www.g-man-weaponry.com/images/Shotguns/SHOTGUNS.JPG , de la nourriture, du matériel de chirurgie, un ordinateur portable et d'autres accessoires utiles ou non. D'apparence, Jeff est un homme en forme, cachant une certaine sensibilité derrière un masque de fer. Ce masque, c'est sa dureté. Son impassibilité. Et même son imprévisibilité. Ce masque, c'est un regard de loin innocent et inintéressé, mais c'est également une arme. Une arme qui sert à convaincre ses ennemis, car si son visage représentait véritablement ses intentions et ses émotions, il aurait le visage d'un gorille mélangé à un chien enragé.
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Histoire :
« Tu le vois, ce fusil? Me regarderas-tu de la même façon en sachant que j’ai tué mes propres parents avec? »
L'apprentissage
Tout d'abort nommé Jeffrey Lauzon par ses parents, Jeff grandit au sein d'une famille moyennement pauvre, mais arrivant malgré tout à combler ses dépenses. Il est né en le 26 mai 1986 à Terrebonne (Québec, Canada). En 1990, sa famille et lui-même ont dû déménager à Montréal pour l'emploi du père de famille. Jeff n'a jamais eu de frère ou de soeur. Arrivé à Montréal, il s'est fait inscrire dans diverses écoles primaires et secondaires d'où il ressortait avec difficultés, mais où il se démarquait par ses talents en Angais, informatique, sciences humaines et éducation physique. Passant ses cours de justesse à la fin de son cinquième secondaire, Jeff entamma des études en médecine et en soutien informatique dans le but de prêter main forte aux forces canadiennes.
De nouvelles ressources
Il fut recruté dans l'armée à l'âge de 21 ans derrière un bureau. Il effectua un boulot remarquable. Mais à 23 ans, las de sa table, de son ordinateur et de sa chaise, il décida de devenir homme de terrain. Il s'entraîna au boulot avec un stand de tir, et chez lui, le soir, avec un sac de sable. Ce fut sa routine durant toute l’année 2009 et l’année 2010, années dramatiques où le virus de la H1N1 commença lentement à céder sa place à une nouvelle pandémie grippale : celle de la H9N2. L’Inius Corporation devenait de plus en plus connue comme une entreprise « ange-gardien ». Mais d’un tempérament méfiant, Jeff se refusa à se faire vacciné pour une quelle conque de ces maladies. La meilleure solution de survie était, selon lui, la prudence. Et la vaccination n’était qu’un assemblage d’engrenages formé par la peur. Et Jeff n’était pas un trouillard. Complètement inconscient de ce qui se tramait réellement dans le monde et de l’Apocalypse à venir, Jeff poursuivit sa routine militaire : Il fut envoyé pendant trois mois en Afghanistan en 2010, d’où il s’en sortit avec brio, et avec le grade de Caporal, il fut envoyé au fort Canadien Saint-Luc, en banlieue de Montréal, sur la rive sud du Saint-Laurent.
Changements mondiaux
Puis, c’est en 2012 que les choses ont réellement commencé à se gâter. La H9N2 s’avérait plus meurtrière que prévu… Et les soins étaient disponibles, grâce à l’Inius Corporation. Le gouvernement canadien s’était finalement décidé à entamer une campagne de vaccination. Le vaccin H9S4 aurait normalement dû sauver le monde…Mais il l’a en fait détruit. Jeffrey Lauzon, ayant poursuivi ses études en sciences humaines, eut le privilège d’étudier un échantillon du vaccin, des rumeurs affirmant qu’il serait plus mortel que la maladie elle-même. Dans les laboratoires du Fort Saint-Luc, avec du matériel rudimentaire, mais toutefois assez sophistiqué, il se mit à émettre des hypothèses quant aux effets secondaires du H9S4… Il y découvrit la mort. Malheureusement, le temps pour lui de transmettre ses découvertes à ses supérieurs, le 10 décembre 2012, il était déjà trop tard. Suivant les protocoles anti-contamination militaires, chaque homme présent au fort aurait été se faire vacciner. C’est en leur disant « Le jour où je reviendrai, vous ne serez plus… » que le Caporal Lauzon, craignant pour sa vie et condamnant ses compagnons, rendit sa démission et quitta le fort avec son matériel.
Maman et papa…
Ce même jour, il appela un taxi et roula à toute vitesse jusqu’au domicile de ses parents à Montréal. Quand il y parvint, son père et sa mère, avec qui il n’avait plus eu de contact depuis environ trois ans, étaient étendus dans leur lit… Morts.
Se rendant compte qu’il était inutile de se référer à un service funéraire, il les garda dans l’appartement. Erreur! Deux jours plus tard, le 12 décembre, alors qu’il scrutait le poste de télévision qui annonçait plusieurs cas de mort chez les vaccinés, le télé-journal fut interrompu pour un flash d’informations prioritaire. Il en était ainsi sur toutes les chaînes. Les effectifs de morts avaient augmenté à plus d’un milliard… Et certaine vidéos des plus inquiétantes montraient des sortes de « zombies » dans les rues. Dévorant leurs proies comme de la viande. Mais contrairement aux productions hollywoodiennes, les monstres étaient réels. Terriblement réels… C’est en visionnant le reportage que Jeff entendit du bruit derrière lui : sa mère… Et son père…Ils étaient à nouveaux debouts. Mais plutôt que de s’effondrer en larmes devant ce spectacle horrifiant, Jeff sortit son fusil à pompes personnel de son sac à dos et… Tua ses parents une seconde fois. Il ramassa ses affaires en vitesse et sortit de l’appartement, bouleversé par son geste. De l’extérieur, en regardant la fenêtre du domicile une dernière fois, il put apercevoir des bras ensanglantés gigotant derrière la vitre. En fait, partout dans la rue, les gens étaient zombifiés. Il put même voir une jeune femme non contaminée se faire dévorer. Ses hurlements… C’était plus que de l’horreur! Jeff « emprunta » une voiture et se sauva. Il alla s’équiper dans les magasins désertés de la ville. Depuis, il n’est plus qu’un fugitif. Luttant pour sa survie, et armé jusqu’aux dents.
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Psychologie :
« Je vis seul, je chasse seul et personne, personne ne viendra changer ça! »
Jeff est un solitaire. C’est le meilleur mot pour le décrire. Il ne veut développer une relation avec autrui. Il ne doit pas découvrir les gens. Sa force se loge dans son impassibilité et sa détermination impitoyable. S’il se familiarisait avec qui que ce soit, il pourrait ne pas avoir la force de l’achever en cas de « contamination ». C’est pourquoi Jeff se terre dans l’ombre, ne tirant que lorsqu’on s’en prend à lui. Quand il rencontre une nouvelle personne, il la fuit comme la peste, ne voulant pas s’attacher. Pour lui, les gens qui se terrent ensemble dans des bunkers possèdent des espoirs futiles, car dès que l’infestation viendra de l’intérieur, leur semblant de force laissera place à une faiblesse irréparable. L’attachement, aujourd’hui, est une faiblesse. On ne s’attache pas à son futur ennemi. Socialement, quand il lui arrive de parler à une vraie personne, il évite les sujets personnels. Son objectif est la survie et ça s’arrête là! Point! C’est pour ça qu’il ne se gênera pas d’abandonner une personne aux frontières de la mort. Toutefois, il ne faut pas s’y méprendre : Jeff n’est pas un salopard. Il lui arrive d’aider des survivants quand l’occasion se présente, mais telle une ombre, il s’éclipse à la nuit tombée. Car voilà ce qu’est réellement Jeff : un rôdeur. Un spectre. Personne ne le connait personnellement et c’est réciproque. Autant il est sur notre planète, autant il est dans son monde à lui. Un monde condamné, mais déterminé.
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[Hors sujet: J'ai rempli ma fiche sur Word et dans le logiciel, j'avais le bon nombre de lignes. Je ne sais pas quelle est votre configuration d'écran, mais si vous trouvez qu'il manque des choses, dites-le-moi]
Sujet: Jeff, le rôdeur 
Sam 12 Déc - 18:28
