Défense au port

Natalya et son escouade,enfin ce qui restait de son escouade c'était réfugié dans un vieux hangar abandonné pour tenter de fuir les contaminés,il restait à Natalya au mieux une douzaines d'hommes,la jeune femme organisa ses défenses du mieux possible,elle se plaça sur le haut du bâtiment avec deux de ses soldats les autres étant occupé a tenté de renforcé cette position.

Les jeeps étaient toujours dehors sans les mitrailleuses lourdes qui avaient été installé dans le hangar,tout était désert dans le port,pas un cri absolument rien la canadienne passa plusieurs minutes à regardé le port dans sa lunette,au bout d'une bonne heure de stresse Natalya quitta son poste et descendit du toit,elle se dirigea vers son second qui était occupé à renforcé une porte.

-Sergent,apporté moi la radio on va lancer un appelle de détresse en espérant qu'on nous entende.

Le sergent hocha la tête et sortit un instant pour aller chercher cette radio,il la mit en route et la lança sur toute les ondes,il fit signe du doigt a Nat pour bien montré que la radio émettait.

-Ici le capitaine Neidhart de l'armée Canadienne,si vous me recevez répondez nous avons été attaqué par une hordes de monstres...Si vous me recevez répondez...

Natalya laissa la radio quelques instant en espérant une réponse,au moment ou elle allais porter a nouveaux la radio a se bouche quand elle entendit un des ses hommes hurlé «En approche !!!» la jeune femme lâcha la radio aussi sec.

-Tiens moi au jus pour la radio,hurla t'elle a son sergent alors qu'elle remontait sur le toit,elle couru rapidement en tentant d'évité de tomber Natalya se posa près de son Barrett et regarda dans la lunette pour voire une dizaine de contaminés arriver en courant. Putain pourquoi vous ne les avez pas vu arrivés ??

-Je vérifiais la zone des rafiots et le temps que je me retourne ils étaient là...

Natalya se retourna et ajusta son M82,elle ne pris pas le temps de bien viser elle tira tout simplement dans le tas,sa balle partie,traversa la gorge d'un des contaminé,le ventre d'un autre et fini logé dans le bitume du port,après quelques secondes qui lui parurent interminables elle se releva,le port tranquille c'était transformé en boucherie...

Natalya observait encore le carnage qui avait eu lieux la veille,tout était calme depuis peux être que ses monstres avait compris qu'il ne fallait pas approcher d'ici...

Le capitaine décida d'aller patrouiller dans le coin juste au cas ou il y aurais d'autre infectés qui traineraient par là,elle descendit du toit posa son Barrett sur une caisse et pris une arme plus légère son L85 en main et son Desert Eagle en cas de problème,puis elle fit signe à deux de ses hommes de la suivre dehors la canadienne ouvrit lentement la porte du hangar et se dirigea vers le lieux du massacre,aucun autre mot ne pouvais décrire cette scène les monstres était en morceau sur le sol.

-Ah,on fait moins les malins enfoirés,lâcha un des soldat,Raoul.

Natalya connaissait son tempérament de coléreux au premier abord mais c'était un brave gars,quand au deuxième hommes qui l'accompagnait Bitcher,ce type la était une tombe il ne parlais quasiment jamais mais il connaissait son boulot. La canadienne sourit à la remarque de son soldat,elle leurs fit signe d'avancé vers une zone à découvert,les trois soldats restèrent sur place quelques instant avant de s'éclipser dans le noir,la jeune femme remarqua alors un bateau plutôt en bonne état,enfin il flottait quoi.

-Bitcher,Raoul le navire derrière vous essayer de trouvé de la nourriture ou n'importe quoi d'autre qui pourrais être utile,aller y je vous couvre.

Les deux soldats coururent en direction du bateau,après plusieurs minutes,ils arrivèrent avec un sac à dos plein.

-Bouffe chef.

Natalya hochât la tête et les trois militaires repartirent en direction du hangar,ils y arrivèrent sans encombre contre toute attentes,Natalya avait a peine posé le pied dans le hangar que le sergent lui tomba dessus avec un grand sourire.

-On a un contact chef !! La canadienne sourit et se dirigea vers la radio,elle attendit d'entre le message une fois puis y répondit.

-Capitaine Wolfgang,ici le capitaine Neidhart je vous reçois,bon sang heureuse d'entendre enfin quelqu'un,nous somme au Canada coincé à Port-Cartier,nous avons rencontré une horde de monstre votre aide sera la bienvenue,on se retranche et on vous attends..

Invité

Ça avait pourtant bien commencé.
Port-Cartier, Canada, Amérique. Une bien belle ville. Enfin, pour peut qu'on occulte les bâtiments délabrés et les rues mal-entretenues, et surtout les mutants qui ont fait d'un port commercial et touristique un terrain de chasse de qualité. Il est si facile d'acculer une proie dans les impasses innombrables de l'agglomération...
Christina avait posé ses bottes sur le territoire depuis quelques heures, se fichant comme d'une guine du fait d'être « chez elle ». Elle n'était plus chez-elle nulle part depuis longtemps, et de toute façon on avait pas le temps d'être nostalgique par les temps qui courait. Tout juste si on avait le temps d'être en vie.
Dans tous les cas, il n'avait pas fallut bien longtemps pour que le 9mm de la jeune femme vienne emporter un mutant. Le plus ironique étant que, sitôt que le mort-vivant définitivement mort avait rejoins le macadam, trois nouvelles créatures difformes étaient venus traîner leurs membres décharnés vers la chair fraîche qu'était Tina. Celle-ci ne mit pas beaucoup de temps à choisir entre vider vainement son chargeur sur eux, tenter de les résonner, attendre de se faire massacrer ou tout simplement fuir. Elle se foutait d'être héroïque. Les héros mourraient, pas elle.
Elle courut sur le goudron humide, claquant des dents et serrant les fesses. Elle courut après son salut dans le dédale des rues silencieuses et oppressantes de la ville côtière, croisant les fantômes de ceux qui avaient été humains, tentant de trouver un chemin qui la sortirait des griffes de la mort. Sauf que plus elle tentait de fuir, et plus elle ne faisait que semer certains monstres pour en accrocher d'autres en plus grand nombre. Et son souffle qui l'abandonnait...
Christina ne croyait pas au destin et aux miracles, ce genre de conneries en général. Si sa vie était déjà toute tracée, ça ne servait pas à grand-chose de se bouger les fesses pour y changer quoi que ce soit. Manquerait plus qu'il faille attendre gentiment en s'asseyant que les choses se fassent... Elle n'était pas non-plus croyante. Croire en elle était déjà suffisamment dur et rapporter peu. Et puis franchement, soyons honnêtes, c'est pas des prières et des promesses de repentir qui avait mené le monde jusqu'où il en était aujourd'hui...Si dieu, Allah, Bouddah ou une autre divinité existait, c'était franchement pas une flèche. Et puis parfois, il fallait être honnête et assumer que si on en était là c'était à cause de la connerie tout ce qu'il y a de plus humaine.
Pourtant, quand elle vit ce hangar délabré derrière ces corps déchiquetés par les balles, elle laissa échapper un « merci mon dieu » tout ce qu'il y a de plus fervent et sprinta de plus belle, les mutants dans son dos, enfin sur le dos. Elle ripa sur une mare de sang noire coagulé mais se rattrapa tant bien que mal, c'était tout sauf le moment de tomber comme une idiote à la façon des filles dans les films d'horreur.
Elle avait vu des gars sur le toit. Des douilles d'armes lourdes, et une jeep retournée gisait plus loin. Des détails infimes qui confirmait que le bâtiment était couvert par l'armée. Bien qu'elle tienne comme la plupart des gens l'armée responsable du merdier dans lequel le monde se trouvait, elle n'allait pas cracher sur le messie, fut-il casqué.
C'est tout juste si la survivante ne se prit pas les portes du hangar de plein fouet, n'ayant que ralentit uniquement lorsque les deux tôles s'étaient retrouvées devant elle. Animée par une décharge d'adrénaline pure, elle frappa de ses poings contre le metal avec force en hurlant.

Ouvrez la porte ! Ils approchent ! Ouvrez !

Rien de plus net et précis que ces quelques mots. Elle avait froid, elle avait faim et elle tremblait, et dépourvue de toute trace de fierté en cet instant, Christina se serait mise à genoux pour qu'on ouvre ne serait-ce que d'un centimètre ces fichues portes.

Militaire - Capitaine Messages : 173 Date d'inscription : 27/05/2009 Age : 51

Les hordes d’infectés affamés couraient, hurlaient en direction d’une jeune femme, devant les portes.
Ils en avaient fait du chemin, le convoi du capitaine. En deux jours de route sans fin, ils roulaient inlassablement, l’idée de retrouver d’autres survivants étais si douce, si réconfortante pour tout les soldats sous le commandement de Wolfgang. Ils n’étaient pas seuls, non pas seul.

Les infectés s’approchaient a un rythme alarmant, alors qu’un des chars léopard débarquais après avoir défoncé un tas de conteneur d’un tir d’obus explosif, déferlant sur les infectés tel un dragon majestueux sortant de léthargie, il les écrasait rapidement, alors que d’un autre coté, l’autre char les attaquais a revers. Les M113s arrivèrent devant la porte en un battement de cil et les rangers du capitaine sortirent en ordre serrés alors que le premier tank faisait place aux soldats pour aller se ranger et harceler d’autre groupes de ces monstruosités. Des rafales organisées, abattirent un grand nombre de ces monstruosités en un craquement plutôt sinistre. Les survivants de cette hécatombe rampaient, et tentaient de se relever.

Le capitaine, tira sur son cigare tranquillement en rangeant son fusil d’assaut modèle FAMAS et dégaina son 357. Magnum, avant de s’approcher de l’un des derniers infectés qui rampaient en direction, et de loger une balle dans son crâne pourris, le sang brunâtre lui giclant sur les bottes et en partie sur le visage, il s’essuya en un mouvement bref un morceau de chair et retourna près de la dame en retirant sur son cigare.

- Vous ne semblez pas faire partie des forces survivantes canadiennes.. Disait t’il en un semblant de sourire, ce qui lui allais assez bien, même si le voir sourire étais chose rare. Enfin bref, j’en oublie les politesses, je suis le capitaine Hanon Amadeus.. Appelez moi Wolfgang, ou capitaine.. A vous de voir.

Il retira un moment sur son cigare.

- Vous n’êtes pas blessée ? Le M113 de commandement, celui marqué avec la croix de malte, contiens des médicaments, bandages, armes et munitions
.

Il lui désigna le véhicule blindé, gardé par Caine, l’imposant roux barbu qui révisais sa mitrailleuse lourde modèle MG43.

Admin Messages : 417 Date d'inscription : 22/05/2009 Localisation : Bunker I.C.

Randy observa son écran. De la fumée ? Il utilisa la fonction zoom et oberva. Ce qu'il vit le fit sursauter et il fit tomber sa tasse de café sur son bureau.
Des survivants à Port Cartier ? Il saisi son téléphone satellite et appelle Kol.

-KOOOOOOL ! On a des fouilles merdes a Port Cartier, vous savez comme moi que ils ne doivent pas arriver dans la zone 22 !!! CARTE BLANCHE KOL !!! GROUILLEZ VOUS !

Randy sortit de son bureau, furieux.

Invité

Les portes ne s'étaient pas ouvertes, néanmoins, attirée par quelques bruits sortant des habituels gargouillis des mutants, Christina avait cessée de tambouriner sur l'entrée du hangar pour assister à un spectacle...jouissant, faute d'autres termes. Les créatures se faisaient écrabouiller, canarder et massacrer dans un grand ballet sanglant de tripes et de chair putréfiés par des forces armées arrivé en renforts. Alors qu'il y a quelques minutes, Christina était seule face à une horde et coincée devant une porte verrouillée, elle était désormais tout ce qu'il y a de plus couverte par une unité aussi organisée qu'efficace. Ça faisait plaisir.
Sans un mot, la jeune survivante se plaqua dos contre les portes, serrant toujours son 9mm qui devait sérieusement complexer devant les mitrailleuses lourdes des soldats. Il ne lui servirait pas à grand-chose mais la rassurait.
Outre le carnage en règle de ces erreurs de la biologie (carnage qui, faute de cible, s'estompa rapidement pour ne laisser qu'une odeur de putréfaction et de poudre), la jeune femme identifia le chef de ce bordel bien agencé sans même avoir à le chercher, grâce à un rapide tour d'horizon. Facile, c'était le plus décontracté et le plus charismatique. Une fois trouvée, elle ne le lâcha pas d'une semelle. Si il y avait bien quelqu'un ici à qui elle devait lécher les pompes avec application, c'était lui.
Lui, d'ailleurs, était un militaire de base. Imposant, un rien nonchalant, c'était plus un vieux singe qu'un jeune loup. Le plus ironique était qu'il possédait un nom qui se rapportait à Mozart...Étonnant. Comment elle savait comment il s'appelait ? Ben, il venait de lui parler. Christina fixa le capitaine un moment, tentant de se concentrer sur ses paroles, encore sous le coup de la léthargie que le massacre avait imposé à son esprit. Elle rangea lentement son arme dans l'intérieur de sa veste et souffla un peu avant de se décoller de la porte. Elle leva lentement une main vers le capitaine.

Christina.

C'était son prénom, et c'était tout ce qu'il avait besoin de savoir. Son nom n'avait aucune valeur, ses qualités de survivante était clairement exprimées. Et elle n'aimait pas parler pour ne rien dire. Sauf pour lancer des piques quand l'envie lui prenait et que ça ne portait pas à conséquence. Et comme d'insulter son sauveur, son équipe alors qu'ils étaient armés était...profondément stupide, elle ne pipa mot.
Tout juste si elle vérifia si elle était blessée quand le militaire lui demanda. Elle avait des écorchures aux genoux, la lèvre fendue et quelques bleues sur les avant-bras ainsi qu'une vilaine plaie sur le côté du dos. Rien de bien conséquent mais avoir un stock de médicaments et autres sparadraps à sa portée était tentant. Elle tourna la tête vers l'endroit que Wolfang désignait et fit un signe de tête avant d'esquisser un mouvement pour s'y rendre. Néanmoins, elle s'immobilisa au bout de deux pas pour se retourner et fixer à nouveau le militaire.

Merci de m'avoir sortit de ce traquenard.... Vous n'étiez pas expressément là pour moi mais j'apprécie que vous ne m'ayez pas laisser crever...Capitaine.

Elle s'autorisa un sourire fatigué et se dirigea vers le véhicule qui contenait le tout-médical en réfléchissant à la suite. Elle était sauvée, mission accomplie. Mais jusqu'à quand ? Le port était calme...Du calme avant la tempête.

Comme à son habitude, Randy le président d'Inius Corporation avait hurler dans la liaison COM de son meilleur ami, confrère et aussi Général. L'ordre était on ne peux plus clair pour Kol, qui avec le temps avait appris à déchiffrer les ordres de Randy. Il lui fallait aller en bordure du secteur 21 sur le port, non loin de la zone 22 contenant des... Des choses d'Inius Corporation.

A borde de son Hélicoptère de combat, dans la cabine arrière pour être très précis, il avait sa jambe droite allongé sur la banquette d'en face, non loin de lui deux hommes étaient installés, l'un à la mitrailleuse lourde et l'autre au Sniper.

Kol sortit de son holster son Red 9, pistolet de 1914 tiré à seulement 140.000 exemplaires, il avait fait des pieds et des mains pour l'obtenir et il l'avait aussi personnalisé lui même. Viée laser, munitions à balles perforantes, recul améliorer et j'en passe.

Voilà plusieurs mois qu'il n'avait fait que des missions banales et le revoilà partit dans cette phase active qu'il convoite tant. Sa voix rauque et son ton calme s'élève dans l'hélicoptère en plein vol.

"Pilote, posez nous sur le toit de ce batiment, donnez un contact radio au secteur 22 dites leurs de m'envoyer les bombardiers, les chars, et que les "murs de feu" se déplacent aussi avec les Snipers."

Le Pilote obéit, il se posa laissant Kol fouler le sol, l'hiver étant de retour, il avait encore ce même accoutrement mais avec cette fois une large parka qui lui colle bien au corps, étant seul il ôta la sécurité de son arme et entreprit son avancement vers la porte sur le toit qui donne sur des escaliers pour rejoindre le groupe de "fouilles-merde".

C'est vrai, connaissant Kol on aurait pût croire qu'il aurait demander un assaut aérien sur le secteur 21, mais quelque chose le pousse à aller voir ces personnes... Un sentiment étrange...

Elle l'avais vu arrivée,cette civile...Elle aurait du tiré,mais elle ne l'avais pas fait...A présent ils étaient dans la merde,parce qu'elle était coincé en bas du hangar en train de tambouriner sur la porte...Et qu'une horde de monstres arrivait...

La capitaine ne pris pas le temps d'aller ouvrir il y avait bien trop de contaminés,elle tirai juste dans le tas en essayant d'abattre le plus de monstre possible d'une balle,et surtout ses hommes et elle tentaient de garder la civile en vie.

Leurs ennemis étaient toujours plus nombreux et tout semblait perdue,c'est alors qu'un bruit assez faible au départ se fit entendre,un bruit de moteur Natalya lâcha les contaminés quelques instant pour se tourner dans une autre directions la jeune femme n'eut même pas le temps de crier quoi que se soit qu'un blindé déboula devant le hangar et tira...Son obus explosa en plein dans les contaminés,les réduisant en bouillies,la jeune femme ne savait pas trop si elle devait sourire ou non mais cette aide était inespéré,la jeune femme vida quand même son chargeur et descendis dans le hangar,elle posa son Barrett sur une caisse et pris son L85.

La jeune femme ouvrit la porte du hangar dans un grincement pour tomber nez à nez avec cette civile et un militaire.

-Capitaine Wolfgang je suppose,dit elle,Natalya tendit la main vers son sauveur avec un léger sourire,Capitaine Neidhart c'est nous qui avons lancé l'appelle de détresse merci d'y avoir répondu. La canadienne se tourna alors vers la civile qui était venu vers eux,elle la regarda avec un léger sourire,et vous êtes mademoiselle ??

Plusieurs soldat de Natalya sortir du hangar avec un immense sourire,on était enfin venu a leur secoure,ils n'étaient plus seul.

-Capitaine...On à une destination bien précise parce que plus vite on sera parti d'ici mieux sa sera...

Il était dans ces escaliers sombre et humide, le manque de lumière le força à saisir sa lampe et d'avancer avec on arme tendu, les deux mains croisé l'une pour la lumières l'autre pour l'arme...
Alors que son avancée se poursuis il est surpris par un mort-vivant qui le saisit par l'arrière, aussitôt fait, Kol parviens à assener plusieurs coups dans les côtes de son adversaires le faisant lâcher prise, puis il envoi son pied dans le thorax de la chose et le colle au mur avant de faire feu, un unique coup de feu qui laissa le mort sur place...

Soulagé, Kol continu sa marche et arrive à une porte qu'il ouvre prudemment, il est dans un gigantesque hangar, en contre-bas plusieurs personnes parlent, il n'est pas encore repéré il en profite donc pour observer son environnement, des corps putréfié en morceaux, un char d'assaut et des humains en contre-bas... Surement les "fouilles-merdes".

"Destination bien précise"...

Sans la tête du Général, le rapprochement se fit, ils voulaient aller dans le secteur 22... Alors qu'ils s'apprête à reprendre le chemin en sens inverse, la radio de Kol s'active et résonne dans tout le hangar.

"Général Kol ! Les "Murs de feu" se déplace en croix sur le port, les infectés sont présents en masse sur un rayon de cinq kilomètres, leur faim les rends plus coriace. Les B-22 sont chargés au Napalm et sont au départ dans dix minutes, les chars sont en route et les Forces Spéciales attendent vos ordres dans les Hawak. Vos ordres mon Général?"

Conscient du fait qu'il aller être repéré, Kol sortit simplement son PDA pour vérifier si son subordonné avait vu juste, les nano-robots injectés en même temps que le vaccin émettent encore le signal, et il avait vu juste... Des milliers d'infectés arrivent...

Invité

Christina répéta son nom à la jeune capitaine énergique qui semblait avoir appelé en renfort l'autre capitaine, Wolfgang, et partit en laissant les deux soldats s'inquiéter de détails purement militaires. Lentement, elle arriva à la hauteur du camion blindé, là où un authentique colosse roux bougonnait en s'affairant. La jeune femme s'éclaircit la gorge pour montrer sa présence, et le militaire se retourna vers un en plissant ses lèvres de façon à manifester son mécontentement.

Quoi ? C'est vous le civil qu'on à sauver ? Vous vous êtes fait bobo en vous promenant ?

Christina fronça les sourcils, peu incline à ce qu'un soldat se permette de lui faire la moral sur sa façon de gérer sa vie. Tout le monde faisait ce qu'il pouvait, hein.

Je cherche simplement de quoi me soigner, oui.

Ah ça ! C'est la meilleure ! Vous pensez qu'on est l'armée du Salut ? C'est pas un self-service ici !

Je pensais juste que vous étiez l'armée tout court, cette espèce d'organisme chargée de défendre les civils. Si vous ne voulez pas que je me serve, allez voir votre capitaine. C'est lui qui m'a donné l'autorisation.

La réplique avait claquée, sanglante, et le dénommé Caine ferma sa bouche qui se plissa en une moue encore plus contrariée. Haussant les épaules, il ouvrit les deux portières du wagon.
Des kits de survie de toutes les tailles et de toutes les situations possibles et inimaginables, un vrai El Dorado médical devant elle !
Christina se servit, vérifiant de ne pas non-plus trop abuser de «l'hospitalité» militaire, sachant que derrière elle, le géant vérifiait tout ce qu'elle prenait ou non. Elle soigna donc ses plaies et fourra quelques compresses et autres dans son sac.
Elle allait réfléchir à quoi faire lorsqu'une agitation inhabituelle secoua les petits soldats de plombs un peu partout aux alentours du hangar. En fronçant les sourcils, elle vit les deux capitaines s'agiter et se dirigea vers eux ; c'était mauvais...mais qu'est-ce que c'était mauvais...

Natalya continua à parler avec le capitaine sur ce qu'ils devaient faire ou pas,elle appris aussi le nom de la civile Christina,alors qu'elle allai reprendre la parole un bruit résonna dans le hangar...

"Général Kol ! Les "Murs de feu" se déplace en croix sur le port, les infectés sont présents en masse sur un rayon de cinq kilomètres, leur faim les rends plus coriace. Les B-22 sont chargés au Napalm et sont au départ dans dix minutes, les chars sont en route et les Forces Spéciales attendent vos ordres dans les Hawak. Vos ordres mon Général?"

La canadienne leva son arme et se dirigea vers la source de se bruit elle ne vit qu'un homme PDA en main,Natalya le mis en joue.

-Qui êtes vous,et que voulez vous,demanda t'elle d'un ton froid,deux de ses hommes vinrent se placé à ses cotés rien qu'a le voir la capitaine ne lui aurait pas accordé sa confiance,arrivé comme sa sans un bruit et épier,qui sais peut être était t'il venu ici pour tous les exécutés....

Kol avait sentit toutes ces armes se mettre en joue dans sa direction, il se retourna montrant son visage balafré par les batailles et le temps...
La question n'avait pas tarder et elle était on ne peut plus explicite. Kol, sur ce ton anormalement calme répondit.

"Je suis le Général Kol, chef des armées d'Inius Corporation. Je suis ici pour vous sauvez... Les routes qui mènent au port son remplies d'infectés et ils s'agglutinent autour de cette position. Vous avez le choix, soit vous me tuez maintenant et vous n'avez aucune chance de vous en sortir vivant ou nous collaborons ensemble pour vous faire sortir d'ici. Dans tout les cas vous dépendez de moi et de moi seul..."

Kol saisit prudemment sa radio et répondit.

"Les B-22 bombarde les rues, les "murs de feu" réalise la diversions sur toutes les routes, laisser les forces spéciales prendre le contrôle du port. J'ai les survivants avec moi."

Il relâcha le bouton et fixa de nouveau les survivants.

"Alors?"

Militaire - Capitaine Messages : 173 Date d'inscription : 27/05/2009 Age : 51

Kol.. Le nom de cet horrible homme réssonait dans le hangar, il sortis son 357.Magnum en un mouvement éclair. Il avait failli mourir lors de leurs dernière confrontation, dire qu'il l'avait aidé a capturer des spécimens mutés.

Il courut et s'approcha, se mit devant le capitaine Neidhart, braqua le second de l'Inius Corporation.

- Kol.. Espèce de salopard.. Encore en vie... Disait-il en visant la tête du général. Que nous voulez vous encore ?

Le capitaine Neidhart ne devais pas très bien comprendre ce qu'il ce passais, ni personne d'ailleurs.

- La dernière fois que j'ai bossé avec cet homme, il détruis un refuge sur New-York pour une poignée d'infectés mutés.

Ensuite, le vieux capitaine réfléchit, se releva en remettant son pistolet dans son Holster, il ne voulais pas causer encore la perte de survivants ou de ces forces. Wolfgang s'approcha du général, et lui tendit la main, cachant son dégout de toucher cet homme derrière un visage sans expression.

- Repartons a zéro, je ne sais pas si je peux vous faire confiance mais je n'ai pas tellement le choix de toute façon..

Alors....Le destin d'elle et de ses hommes,la vie de toute les personnes présente ici se résumais à se seul petit mot...

La jeune femme n'avait pas vraiment le choix,si même Wolfgang baissai son arme,la canadienne fit signe à ses hommes d'en faire autant,ce n'était pas pour autant qu'elle avait confiance en cette homme,si les dires du second capitaine était vrai....

Cette homme était plutôt du genre monstrueux mais pour l'instant elle ne s'en souciais guère,si des milliers d'infectés se rassemblais ici,même si elle était du genre courageuse elle n'était pas folle loin de là et si elle devait faire confiance à ce général Kol elle était prête à essayer pour ses hommes au moins...

-Alors...Avant qu'on se barre d'ici quelqu'un peux m'expliquer ce que c'est que ce bordel,c'est quoi c'est monstres dehors ??

Natalya tenais à être clair face à ses interlocuteurs.

Admin Messages : 417 Date d'inscription : 22/05/2009 Localisation : Bunker I.C.

Randy était dans un centre technique de son bunker. Il étudiait avec un responsable techniques les images satellites prises par un de leur très nombreux satellites. Soudain, une alarme résonna.

-Monsieur, je crois qu'on à un problème avec la zone 22 ...
-Ah, vraiment ?

Une voix sortit du talkie walkie posé sur la table. Ou plutôt des hurlements.

-Ici le Major Sintano ! Ici la zone 22 ! On a un problème d'isolation, on arrive plus a les contenirs !

Effectivement, des tirs résonnaient derrière.

-OH MON DIEU ! ILS ONT PASSÉS LES PROTECTIONS ! CE N'EST QU'UNE QUESTION DE TEMPS ! NOOOOAAANNNN !!!

Le reste n'était composé que de cris et de bruits étranges. Randy, ouvrit un oeil incrédule en direction de l'homme qui était avec lui. Il prit le talkie walkie et ouvrit une communication avec Daru Kol.

-Daru ? Hum ... comment vous dire cela ... Hum ... La 22 a débordée, je répète : la 22 a débordée. Dans 5 minutes ils seront sur vous. Je vous envoie une compagnie de blindés, mais je ne suis même pas sur que des chars soient assez résistants. Heu ... bonne chance.

Randy éteignit le talkie walkie, puis retourna dans son bureau faire sa piqure, puis pleurer sur la photo ou figurait sa famille.

Daru avait parfaitement entendu les propos de Randy, malgré l'annonce assez déplaisante son visage ne trahit aucune émotions et il garde un regard inexpressif des plus déstabilisant.
Les B-22 n'avait jamais décollé, et les "murs de feu" étaient surement déjà tous mort...

"Caporal Hicks! Envoyer les forces spéciales sur le toit, laisser les Hawak faire des passages à la mitrailleuse, nous cherchons une solution en bas..."

Kol était perplexe, il savait pertinemment qu'a trop attendre l'inéluctable gagne du terrain... Une idée frappa alors l'esprit de Kol, nous étions bel et bien dans un port...

"Bon, les forces spéciales vont nous couvrir, il nous faut aller sur les docks et trouver une embarcation."

Son idée était parfaite...

Admin Messages : 417 Date d'inscription : 22/05/2009 Localisation : Bunker I.C.

Randy examina le rapport qu'il avait demandé en urgence sur ces fameux zombies de la zone 22. Il ouvrit un rapport de plusieurs pages composées de photos, notes et codes d'accès.
Il parcouru entièrement le dossier. Il fut surprit de découvrir des choses qu'il ne savait pas. Par exemple ces chasseurs-zombies, en plus d'être très rapides et d'avoir un sens de la chasse hyper-développé, forment aussi une meute, ils travaillent en équipe.
Ça c'était encore une idée de Daru. Bref, son meilleur ami Kol était dans la merde, et il allait devoir s'en sortir une fois de plus. Randy décrocha son téléphone satellite et appela une de ses bases au Canada.

-Henry ? C'est Randy. T'sais que tu m'en doit une ... oui. Le coup du paquebot. Tu pourrais ... attend voir.

Randy se gratta la tête.

-Mais pour qui tu te prend, ducon ?! Ch'uis ton supérieur, j'ai pas de compte a te rendre ! Tu m'envois trois black-hawk à Port-Cartier protéger Daru. Exécution !

C'était la première fois qu'il s'en faisait réellement pour Daru. Cette meute était du jamais vu.

Natalya le savait elle le sentais ils étaient tous dans la merde...
Peux importe ce qu'était la zone 22,si même des chars ne pouvait pas empêché les trucs qui s'en était échappé de s'arrêter alors la meilleur solution était de fuir loin très loin....En Inde par exemple.

La jeune femme repensa a l'idée de Kol...Un bateau elle en avait visité un avec ses hommes un peux plus tôt dans la journée.

-Je sais ou il y a un navire...Mais de la à ce qu'il fonctionne,sa c'est une autre affaire,aller on embarque,dit elle...

La jeune femme fit signe à ses hommes de remballer le matérielle, et de se préparé à sortir. Elle attrapa la petite civile par le bras pas trop méchamment.

-Écoute,on va bouger d'ici parce que le coin va craindre dans pas longtemps...Tu reste avec moi quoi qu'il arrive,Natalya regarda Christina dans le blanc des yeux puis elle lui fit un rapide signe de tête.

La capitaine sortie dehors en premier suivit par ses hommes et ceux du second capitaine,pour l'instant les contaminés n'étaient pas encore là...Pour l'instant du moins,les soldats marchaient rapidement et silencieusement sur leurs gardes,enfin les soldats arrivèrent devant le dit bateau Natalya s'apprêtait à monter dedans quand elle entendit un horrible cris plusieurs centaines de contaminés arrivaient en courant vers eux....

Chasseur - 50% Messages : 6 Date d'inscription : 20/06/2009

Ils couraient, hurlaient, le sang, l’odeur de la chair fraiche régnait, dominais dans ces hangars, un terrible fléau allais s’abattre sur les survivants, sur ces proies si frêle et si fragile.. Ces repas facile… L’estomac de Till criait, non, hurlait famine, il venait d’engloutir la peau du visage d’un soldat après avoir arraché un énorme lambeaux de chair a l’un des soldats, il avait faim, très faim. Il courrais, suivis par quelques uns des autres, leurs aptitudes étaient décuplée, il faisaient des sauts immenses, passait d’un couvert a l’autre en une fraction de seconde. Un char tenta de tirer sur l’alpha, Till, un tir raté, lamentablement raté. La vitesse de l’infecté l’empêchait de subir un tir d’obus de char, et même donnait peu de chances a un mitrailleur lourd de le toucher, alors un Sniper…

Un groupe isolé, des gens en uniforme.. Difficile a définir pour un infecté comme Till, mais pour vous faciliter les choses, ces gens en uniformes, n’étaient rien d’autres que des soldats de l’Inius Corporation, il n’ont pas fait long feu, avant même d’avoir pu tirer une balle, avant même d’avoir pu appuyer sur la détente, qu’il leur étais dessus, s’en suivit un massacre sans nom, un carnage inoubliable, jouissif.

Soudain il s’arrêta, convulsa un peu, s’agrippa la tête, se la secoua, se tordant dans tout les sens, se frappant la tête contre un des nombreux conteneurs du port.. Pourquoi ? Parce-que, l’humain pouvait par moments reprendre le dessus, mais c’étais rare, très rare.

Enfin, un bruit de pas le rappela au devoir, il huma l’air.. Du sang.. De la peur.. Des proies.. En un mouvement sec, il se retourna, sauta en hauteur pour trouver la provenance de cette odeur si alléchante, si attirante. Un groupe d’humains, et de machines destructrices reculaient le plus vite qu’ils pouvaient, un homme restait en retrait, barbu et un poil âgé.. Il tirais en rafale sur ces anciens congénères en reculant rapidement. C’est la que Till décida d’agir, il saute en faisant un bruit horrible.. Un bruit a glacer le sang du plus rude des combattants et a terroriser un homme robuste.

L’homme, le capitaine Wolfgang exactement, leva vite un œil, braquant l’infecté qui lui sautais dessus, le militaire se jeta sur le coté juste a temps pour éviter de mourir écrasé, réduit en charpie. Le capitaine dégaina son couteau Bowie, et se prépara a faire face a l’abomination qu’étais devenu Till.

Invité

La situation avait beau être merdique, le seul souci de Christina était qu'un capitaine blond un peu trop collant tentait de s'autoproclamer sa nounou. Autour des cris, du danger et des balles, elle s'immobilisa et regarda le bras qui la tenait, fixa Natalya, reporta encore son regard sur son emprise et plongea un regard proprement inexpressif sur la militaire avant d'admettre qu'elle ne pouvait décemment pas lui sauter à la gorge. Il y avait plus urgent, hélas.
Petite, il était arrivé à Christina de se faire violence pour participer à quelques activités père/fille de base telles que la pèche. Outre le fait qu'elle ne supportait pas de rester assise pendant des heures comme une guignol à tenter d'appâter un poisson, elle remettait bien vite la bête dans l'eau sans avoir le courage de la fracasser contre le pilotis d'un ponton.
Bref, elle avait à cette époque absorber les rudiments de la discipline, particulièrement celle de démarrer un bateau. Enfin bateau, du genre de la coque de noix ou du navire de plaisancier en vacances. Dans tous les cas, si Christina pouvait essayer de se sauver elle et ses compagnons d'infortunes, ça valait le coup de tenter.
Sans plus tergiverser, la jeune femme faussa compagnie aux militaires, qui de toute façon étaient plutôt occupés à canarder les infectés qu'à faire attention à elle, et s'élança sur la rampe d'accès du bateau. Elle courut sur le pont en quête de la salle des commandes, dérapa dans un virage et faillit passer par dessus bord avant d'ouvrir la porte de l'habitacle d'un coup de pied tout ce qu'il y a de plus pressé. En quelques enjambées fébriles, la survivante se trouva devant un immense tableau de bord couvert de boutons, leviers, manettes et autres joyeusetés et aspira une longue goulée d'air, pressée par le temps. Le temps d'un rapide coup d'oeil timide dans la vitre lui apprit que les soldats se faisaient lentement massacrer par les super-mutants et qu'aucun officier de la marine n'était à sa portée. Lentement, Christina essaya donc quelques manip', tentant de faire démarrer ce fichu rafiot, en vain. Il FALLAIT pourtant qu'elle se souvienne de ces journées sur le port de Seattle qu'elle avait tellement souhaité oublier...
En désespoir de cause, la survivante abaissa simplement le levier d'un genre de roue de la fortune version désespoir et appuya sur le plus gros bouton d'une pression maladroite. A sa grande surprise, le moteur rugit en faisant vibrer la coque, tandis que les pâles de la turbine s'ébranlaient dans l'eau. Fière de sa prouesse, Christina déchanta bien vite lorsqu'elle se dit qu'elle devrait bientôt tenter de naviguer cette chose qui se trouvait être leur seule issue à tous. Evitant de penser à ce léger détail, elle frappa contre la vitre pour alerter le Capitaine Neidhart qu'elle avait réussit quelque chose d'utile à leur survie et qu'il était temps de déguerpir.

Natalya tirai dans le tas il n'y avait pas d'autre mots pour expliquer ce qu'elle faisait,la jeune femme abattait les zombies par dizaines,sont arme avait même du mal à suivre la cadence,certains de ses hommes hurlait de rage,elle pus apercevoir son sergent rigolé en éclatant la tête d'un zombie,la seul chose qui comptais c'était de rester en vie à présent.

La canadienne dégaina son Desert Eagle,et tira une balle dans le genoux d'un zombie avant de lui expédier son genoux dans la mâchoire,une balle dans la tête acheva le mort,et pour tenter de s'avancer la jeune femme jeta une grenade dans la masse de zombies qui furent littéralement balayé par l'explosion et les shrapnels,avant d'avoir pus dire ouf Natalya tourna la tête vers l'entrepôt ou ils c'étaient tous trouver un peux plus tôt,ils y avait des zombies aussi en haut et ils attaquaient les forces spéciale de Daru,la canadienne recula sur le ponton et pris son fusil à lunette et entrepris des les abattre un à un,son premier tir manqua sa cible,elle se concentra davantage et tira à nouveau,une fois de plus loupé mais ce n'était pas elle qui visait mal c'était ses zombies qui bougeaient bien trop vite.

Elle laissa échappé un merde tonitruant,elle raccrocha son arme dans son dos et repris sont fusil de combat standard pour commencer à nouveau a tirer dans le tas «Bordel mais elle fou quoi....» Natalya n'eut pas le temps de se perdre dans ses pensées,Christina toqua à la vitre du bateau pour lui faire signe qu'il fonctionnais à nouveau.

-Sergent !!! On bouge de là aller en avant !! Elle fit signe au quatre derniers survivant de son groupe d'embarquer. Capitaine Wolfgang on bouge !!

Elle monta à son tour rapidement dans le bateau ils n'attendaient plus que Wolfgang et ses derniers hommes,tout ses soldats continuaient à fournir un appui feux au capitaine et a ses hommes qui n'étaient pas encore monter sur le navire...

C'était tout bonnement incompréhensible, cet événement était inexplicable ! Les "Raptors" sujet d'étude scientifique sur les zombies mêlé à la génothérapie avait donner naissance à des êtres cannibales d'une rapidité étonnamment puissante et une force colossale... Mais le plus impressionnant dans cette histoire c'est ce que Kol venait de faire...

Aucun soldats n'est parvennu à toucher un Raptor alors que Kol, et tout le monde avait pût le constater avait effectué un mouvement surhumain avec son bras et il asséna avec une précision parfaite une balle en plein dans le crâne de l'un des Raptors avant de monter dans le bateau...

Une fois à l'intérieur il changea la fréquence de son portatif et transmis son message.

"Sous-Marin Oklama, point d'extraction sur ma balise, soyez à l'heure..."

De loin désormais, un vrombissement sonore imposant se fit entendre, les B-22 étaient parvennus à décoller et l'on pouvait voir les centaines de bombes au napalm se déversé sur le sol brûlant tout sur son passage anarchique.

"Bouffez donc ça..."

Kol n'était pas dupe, la zone 22 n'était pas tombée... Randy lui avait surement mentit, peut-être avait il découvert ce que le Général avait en tête ou avait il découvert les expériences de de la zone Bravos-744 dans ce cas Daru était plutôt dans une posture alarmante. il espérait une chose, que son petit tour de passe passe n'aller en aucun cas engendrer des questions stupides de la part des survivants.