L’arrivée a Strasbourg.
18h37, arrivée a Strasbourg
__ Atterrissage dans cinq minutes, Dit la voix de Fröhlich légèrement déformée par la radio, Entamons la descente, préparez vous.
Aussitôt, l’avion se pencha en avant, on sentait bien que l’on descendait, pas grâce a l’inclinaison mais grâce aux oreilles qui se bouchaient a chaque mètre descendu. C’est assez amusant de voire des militaires qui on l’air endurci par des années de guerre qui font des grimace pour tenter d’égaliser la pression et ne plus avoir cette horrible sensation. Caine grommela en se frottant les oreilles, Frédéric ouvrait grand la bouche et se bouchait le nez en soufflant a travers ce dernier etc.. etc..
Puis, ils atterrirent secoués mais sans dommage, heureusement, hormis des rayures sur la peinture du M113 de tête. Tout le monde savait ce qu’ils avaient a faire, entrer dans leurs véhicules et partir dans la minute… Il ne fallait sous aucun prétexte attirer les infectés ici et après avoir fermé hermétiquement les entrées de l’avions - On ne sait jamais - Il prirent la route vers Genève, Wolfgang en tête, uniquement équipé de son masque a gaz, ayant retiré son casque, il avait l’air encore plus sinistre que jamais.
Il regarda un plan, la carte de la région et montra le chemin le plus court a suivre pour arriver vers leur objectif, il y’en avait pour quelques heures de routes. Si tout se passait bien il seraient la le lendemain vers 9h45... Plus ou moins…
Wolfgang prit sa radio et émit avec la radio de l’avion, sur toutes les fréquences ce message, en espérant une réponse du bâtiment de l’O.N.U
« __ Ici le Sgt. Wolfgang, est-ce que quelqu’un me reçoit ? Nous avons des munitions et des vivres, a tout ceux me captant, répondez. Je répète, nous pouvons vous accueillir, vous serez en sécurité, Nous avons des munitions et des vivres… »
Wolfgang répétera ce message durant tout le périple, l’homme de L’O.N.U devait savoir qu’ils n’étaient pas seul… Il DEVAIT savoir…